Quand je réfléchis à l’allocation aux adultes handicapés (AAH), je réalise combien elle est indispensable pour aider ceux d’entre nous qui vivent avec un handicap, sous certaines conditions. En d’autres termes, cette aide dépend d’avoir un taux d’incapacité permanent d’au moins 80 %, ou dans certains cas légèrement inférieur selon d’autres critères. Bref. Examinons ici quelles maladies et handicaps peuvent nous rendre éligibles pour cette allocation.
Maladies et handicaps éligibles pour l’AAH
Je découvre que l’AAH peut m’être accordée pour différentes pathologies impactant significativement ma vie quotidienne. Voici quelques types de maladies qui peuvent donner droit à cette aide :
- 1. « Troubles psychiques et mentaux »
– « Dépression sévère » : Quand je souffre d’états dépressifs graves, cela peut me rendre incapable de mener une vie sociale ou professionnelle normale.
– « Troubles anxieux » : Par exemple, l’agoraphobie qui limite ma mobilité et ma capacité d’interaction sociale.
– « Autisme » : Les troubles du spectre de l’autisme sont clairement reconnus comme des handicaps significatifs. - 2. « Maladies chroniques et invalidantes »
– « Sclérose en plaques » : Cette maladie dégénérative du système nerveux central affecte ma mobilité et ma santé globale.
– « Coxarthrose » : L’arthrose qui, à ce qu’il paraît, rend la marche difficile.
– « Diabète » : Même le diabète, dans des cas où il y a des complications graves.
– « Cancer » : Particulièrement lorsqu’il entraîne des limitations significatives de mon autonomie. - 3. « Autres handicaps reconnus »
– « Migraine chronique » : Notamment quand les crises sont tellement fréquentes qu’elles deviennent invalidantes.
– « Dyslexie » : On peut aussi la compter, surtout si elle a un impact sévère sur ma vie.
– « Accidents et leurs séquelles » : Les conséquences fonctionnelles de certains accidents me permettent, en effet, de solliciter l’AAH.
Critères d’évaluation
Pour bénéficier de l’AAH, je dois soumettre un dossier à la Maison Départementale des Personnes Handicapées (MDPH). Voici ce qu’ils examinent :
– « Le taux d’incapacité » : Un taux d’au moins 80 % est généralement exigé, toutefois des exceptions sont possibles selon ma situation personnelle.
– « L’impact sur la vie quotidienne » : Mon aptitude à travailler, à me déplacer et à réaliser des activités habituelles.
– « Les revenus » : Des plafonds de ressources s’appliquent, ce qui me signale que l’AAH est surtout destinée aux personnes en situation financière précaire.
Procédure de demande
Concernant la démarche pour obtenir l’AAH, la procédure se fait en plusieurs étapes :
- 1. « Rassembler les documents nécessaires » : Il me faut des certificats médicaux prouvant mon invalidité.
- 2. « Déposer un dossier à la MDPH » : Un dossier complet est essentiel pour éviter des retards qui pourraient sinon survenir.
- 3. « Attendre l’évaluation » : La MDPH procède à une analyse approfondie en fonction des documents fournis.
- 4. « Recevoir une notification » : Je serai informé de la décision d’octroi ou non de l’AAH.
Conclusion
Bref. L’AAH est une aide financière précieuse pour tant de personnes comme certains d’entre nous qui vivent avec un handicap. Comprendre les maladies et les handicaps éligibles pour cette allocation est fondamental. Si tu te rends compte que tu es éligible, contacter ta MDPH locale semble être la meilleure option pour obtenir toutes les informations nécessaires et commencer la procédure de demande. Cela te permettra d’être pleinement conscient des droits et aides financières auxquels tu as droit.