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Quand on navigue dans le monde de la programmation ou plus largement dans l’univers professionnel du numérique, on tombe souvent sur cet acronyme mystérieux : « LGTM ». Peut-être avez-vous entendu vos collègues le glisser dans une conversation à la pause café, ou plus fréquemment dans un commentaire de code. Mais au fond, que signifie réellement ce petit sigle anglophone ? Et surtout, comment l’utiliser à bon escient dans différents contextes ? Pour faire court, aujourd’hui, on va lever le voile sur « LGTM », en s’adressant à cinq profils très distincts, histoire de bien cerner à qui il s’adresse et comment il s’emploie.
Profil 1 — Vous êtes un développeur en pleine revue de code ?
Quoi : Que voulez-vous faire / que pouvez-vous faire ?
Vous voulez valider rapidement une modification dans un projet logiciel en confirmant que tout est correct et prêt à être intégré. Vous souhaitez, sans tourner autour du pot, dire clairement « tout est ok selon moi ».
Comment : Comment pouvez-vous agir concrètement ?
Commencez par relire les modifications apportées, testez la fonctionnalité si possible, puis commentez simplement « LGTM ». Cela signifie « Looks Good To Me », soit « ça me semble bon ». Ainsi, les autres membres de l’équipe savent que vous donnez votre aval.
Où : Où cela se passe-t-il / où devez-vous intervenir ?
Cela se passe dans l’outil de gestion de code – GitHub, GitLab ou Bitbucket par exemple – là où les pull requests ou merge requests sont soumises. Vous devez intervenir directement dans la section des commentaires dédiée à la revue.
Quand : À quel moment ce besoin se manifeste-t-il / quand faut-il intervenir ?
À chaque fois qu’une nouvelle modification est proposée et que vous êtes en charge de la validation. Souvent, c’est après avoir réalisé vos tests locaux ou analysé l’impact potentiel des changements.
Pourquoi : Pourquoi ce besoin est-il important dans votre cas ?
Parce qu’il n’y a rien de pire que de fusionner un code non vérifié et introduire un bug en production. Grâce à « LGTM », vous exprimez clairement votre confiance. Ce petit acronyme fluidifie la communication – mine de rien, il accélère le travail d’équipe tout en assurant la qualité.
Profil 2 — Vous êtes un chef de projet digital qui supervise une équipe ?
Quoi : Que voulez-vous faire / que pouvez-vous faire ?
Vous cherchez à avoir une vue rapide sur l’état d’avancement technique, notamment sur la validation des tâches par vos développeurs, sans plonger dans le détail.
Comment : Comment pouvez-vous agir concrètement ?
Demandez aux devs d’utiliser « LGTM » sur les changements validés. Vous pouvez par exemple mettre en place une règle dans votre gestionnaire de projet indiquant qu’un changement n’est pas considéré prêt tant qu’il n’a pas au moins un « LGTM ».
Où : Où cela se passe-t-il / où devez-vous intervenir ?
Dans l’environnement collaboratif que vous employez, souvent accessible à tous, où la communication et le suivi du développement se font, comme Jira couplé à GitHub.
Quand : À quel moment ce besoin se manifeste-t-il / quand faut-il intervenir ?
Lorsqu’un sprint touche à sa fin et qu’il faut s’assurer que tout est prêt pour déployer ou livrer, ou encore durant les points intermédiaires de suivi.
Pourquoi : Pourquoi ce besoin est-il important dans votre cas ?
Parce que, pour vous, « LGTM » déclenche la confiance sans avoir à tout vérifier vous-même, et cela permet de gagner en efficacité au quotidien.
Profil 3 — Vous êtes un étudiant en informatique qui découvre la collaboration en groupe ?
Quoi : Que voulez-vous faire / que pouvez-vous faire ?
Vous souhaitez comprendre le jargon professionnel et ne pas vous sentir perdu quand vos pairs ou mentors utilisent « LGTM » dans leurs commentaires.
Comment : Comment pouvez-vous agir concrètement ?
Quand vous observez cette annotation dans une revue de code, sachez que c’est une approbation. Vous pouvez aussi l’adopter, à condition d’avoir bien vérifié le travail avant.
Où : Où cela se passe-t-il / où devez-vous intervenir ?
Dans les plateformes de projets collaboratifs en ligne, ou lors des TP en groupe.
Quand : À quel moment ce besoin se manifeste-t-il / quand faut-il intervenir ?
Lorsque vous participez à des revues de code ou à des projets collectifs, généralement en deuxième année ou plus.
Pourquoi : Pourquoi ce besoin est-il important dans votre cas ?
Oh, parce qu’identifier rapidement ce genre d’acronyme vous aide à vous fondre dans la culture tech – et mine de rien, ça vous sauve des explications interminables.
Profil 4 — Vous êtes un non-initié qui assiste à une réunion technique ?
Quoi : Que voulez-vous faire / que pouvez-vous faire ?
Vous tâchez de comprendre le sens des échanges techniques parfois cryptiques, comme « LGTM », pour mieux suivre la discussion et vous sentir à l’aise.
Comment : Comment pouvez-vous agir concrètement ?
Quand vous entendez ce terme, vous pouvez le considérer comme un « parfait, c’est validé », ou vous amener à poser la question poliment : « Est-ce que cela veut dire que c’est bon pour tout le monde ? »
Où : Où cela se passe-t-il / où devez-vous intervenir ?
En réunion d’équipe, ou via des outils de chat professionnels (Slack, Teams, etc.).
Quand : À quel moment ce besoin se manifeste-t-il / quand faut-il intervenir ?
Pendant les échanges sur l’avancement des projets.
Pourquoi : Pourquoi ce besoin est-il important dans votre cas ?
Tout simplement pour ne pas rester perdu, et pouvoir mieux anticiper votre rôle ou vos interventions.
Profil 5 — Vous êtes un spécialiste en communication digitale qui rédige des contenus techniques ?
Quoi : Que voulez-vous faire / que pouvez-vous faire ?
Vous souhaitez expliquer clairement l’usage et la portée de « LGTM », afin que vos lecteurs ne l’interprètent pas à tort.
Comment : Comment pouvez-vous agir concrètement ?
Afin de rendre votre article vivant, vous illustrez avec 10 exemples concrets adaptés à divers contextes (ci-dessous).
Où : Où cela se passe-t-il / où devez-vous intervenir ?
Dans votre contenu publié, destiné tant aux professionnels qu’aux novices.
Quand : À quel moment ce besoin se manifeste-t-il / quand faut-il intervenir ?
Chaque fois qu’un terme technique a lieu d’être vulgarisé.
Pourquoi : Pourquoi ce besoin est-il important dans votre cas ?
Parce que la clarté de l’information favorise l’inclusion de tous, et enrichit la culture générale autour de la tech.
10 exemples d’utilisation de « LGTM »
- Dans une revue de code :
« J’ai testé la nouvelle fonctionnalité, LGTM, tu peux merger. »
- Sur un forum de développeurs :
« Le patch corrigé pour le bug #345, LGTM, bon boulot ! »
- En commentaire Slack dans une équipe projet :
« Voici le design enfin finalisé. LGTM pour lancer la prod ? »
- Dans un e-mail à un collègue :
« Ta proposition d’optimisation LGTM, je valide. On avance. »
- Lors d’une réunion agile :
« Sprint review terminée, tous les tickets LGTM, on passe au suivant. »
- Sur un dépôt GitHub en pull request :
« Le build passe et les tests sont verts, LGTM de ma part. »
- Entre étudiants lors d’un projet en groupe :
« Ton code est clair, LGTM, cool ! »
- Dans un chat non-tech, un peu au second degré :
« Ta présentation ce matin, LGTM, tu maîtrises. »
- Pour un consultant qui valide une maquette :
« La dernière version du design LGTM, on peut lancer le développement. »
- En réponse à un chef de projet :
« Tes recommandations LGTM, on fonce alors. »
➡️ En cas de doute, consultez toujours une source officielle ou un professionnel qualifié.
- LGTM – Wiktionary
https://en.wiktionary.org/wiki/LGTM
- LGTM: Meaning & usage examples – QuillBot
https://quillbot.com/blog/definitions/lgtm
- Code review acronyms explained – CodeLantis
https://www.codelantis.com/blog/code-review-acronyms-lgtm-nit
Pour faire simple, « LGTM » est un petit raccourci très utile qui facilite grandement la validation dans le monde numérique, mais bien au-delà, c’est un signe de confiance et de fluidité dans la communication quotidienne. Mine de rien, en le maîtrisant, vous gagnez en assurance dans ce jargon parfois hermétique. Voilà pour aujourd’hui, j’espère que ce focus vous aidera à mieux vous repérer dans les échanges techniques !