Écrit-on c’est inclus ou inclu

La seule graphie admise est celle avec « s », car c’est le participe passé d’un verbe du 3e groupe. L’absence de « s » constitue une erreur, même dans un contexte informel. Exemple : « Le petit-déjeuner est compris et c’est inclus dans le tarif » est correct.

Les ouvrages de référence n’ont retenu que la terminaison « us », héritée du latin « inclusus ». Les correcteurs orthographiques bloquent la graphie sans « s » pour garantir la norme. Exemple : un traitement de texte signale « inclu » comme faute.

Les verbes en « –ure » (instruire, exclure, inclure) prennent en français un participe en « us ». Cette évolution suit le modèle historique des mots empruntés au latin. Exemple : on écrit « exclu » et « instruit », avec la même règle morphologique.

Pour accorder un verbe au passé composé avec « être », il doit s’accorder en genre et en nombre avec le sujet. Par exemple, on écrit « elles sont parties » et non « elles sont parti ». Cette règle vaut pour tous les verbes conjugués avec cet auxiliaire.

On emploie « qu’ » avant un mot commençant par une voyelle ou un h muet pour éviter la hiatus. On conserve « que » devant consonne : « Je pense que tu viens ». Exemple : « Je sais qu’il arrivera bientôt » écrit correctement.

« Ça » remplace « cela » et s’écrit toujours avec une cédille. « Sa » est un déterminant possessif : « sa maison », « sa raison ». Exemple : « Ça me plaît » versus « Elle a vendu sa voiture ».

Cet verbe se conjugue avec l’auxiliaire « avoir ». Le participe passé reste invariable : « il a envoyé », « elles ont envoyé ». Exemple : « Nous avons envoyé les documents hier ».

Oui, « école » prend un accent aigu : « é ». Cet accent indique le son /e/ fermé. Sans accent, la prononciation changerait et deviendrait incorrecte.

Les tirets servent à insérer un commentaire plus marqué que les parenthèses. Les parenthèses ajoutent une précision légère. Exemple : « Il a réussi – contre toute attente – l’examen (après un long travail) ».

On met une majuscule en début de phrase, aux noms propres et titres officiels. Les noms de jours et de mois n’en prennent pas en français. Exemple : « Paris, lundi 1er juillet » et non « Lundi ».

Il faut inverser l’agent et le sujet et ajouter l’auxiliaire « être » + participe passé. On peut introduire l’ancien sujet par « par » ou « de ». Exemple : « L’équipe a gagné » devient « L’équipe a été gagnée par… ».

« Leur » sans « s » introduit un complément pour plusieurs personnes : « Je leur ai parlé ». « Leurs » avec « s » est déterminant possessif pluriel : « leurs idées ». Exemple : « Ils ont vendu leurs livres ».

Variez les synonymes et reformulez les phrases pour alléger le style. Utilisez des pronoms ou des périphrases pour remplacer un même mot. Exemple : alternez « cet outil » et « cet instrument » selon le contexte.

Le point-virgule sépare deux idées liées, plus fortement qu’une virgule. Il sert à aérer une phrase complexe contenant déjà plusieurs virgules. Exemple : « Il aime voyager; elle préfère rester chez elle ».

Commencez par une introduction avec problématique claire. Développez deux ou trois parties équilibrées, chacune illustrée d’exemples. Terminez par une conclusion synthétique ouvrant sur une perspective.

Lisez des genres variés (articles, romans, essais) et relevez les mots nouveaux. Notez-les dans un carnet et utilisez-les dans des phrases. Exemple : après avoir rencontré « péremptoire », essayez de l’employer lors d’un échange.

Posez-vous la question du sens et de la catégorie grammaticale. Vérifiez si le mot remplace un autre élément ou marque un accord. Exemple : « ses » (possessif) vs « c’est » (il est).

« Bon » qualifie un nom (« un bon repas »), « bien » modifie un verbe ou un adjectif (« bien manger », « bien préparé »). Les deux ne sont pas interchangeables. Exemple : on dit « un bon film », pas « un bien film ».

Un mot répète inutilement une idée déjà exprimée par un autre. Relisez chaque tournure : si deux termes disent la même chose, supprimez l’un. Exemple : « monter en haut » devient « monter ».

Les adjectifs de couleur composés et certains emprunts sont invariables. Exemples : « bleu-clair », « marron », « orange ». Vérifiez toujours le dictionnaire pour éviter l’erreur.

Utilisez une formule d’appel polie (« Madame, Monsieur ») et évitez les abréviations. Privilégiez des phrases courtes et claires, terminez par une formule de courtoisie. Exemple : « Je vous prie d’agréer, Madame, l’expression de mes salutations distinguées ».

Les correcteurs intégrés (Word, LibreOffice) et en ligne (BonPatron, Scribens) sont utiles. Utilisez-en au moins deux pour croiser les suggestions. Exemple : BonPatron signale souvent les accords manquants.

Les teintes simples s’accordent (« des robes rouges »), les noms d’objets restent invariables (« des robes orange »). Les formes composées sont invariables (« bleu-ciel »). Exemple : on écrit « des chaises marron ».

Posez une question ou promettez un bénéfice clair. Utilisez des mots forts et restez concis (moins de 60 caractères). Exemple : « Boostez votre français en 5 astuces simples ».

L’essai, l’article de presse et la lettre ouverte sont courants. Chacun combine thèse, arguments et exemples. Exemple : une lettre ouverte défend une cause auprès du public.

Choisissez un style (APA, MLA, Chicago) et appliquez-le de bout en bout. Mentionnez auteur, titre, date, éditeur et URL si nécessaire. Exemple : « Dupont, J. (2020). Grammaire française. PUF. »

« Parce que » introduit une cause principale et est plus familier. « Car » est plus soutenu et ne se place pas en fin de phrase. Exemple : « Je reste, car il pleut » est correct.

Isolez chaque proposition pour vérifier la personne et le nombre du verbe. Si le sujet est éloigné, reformulez mentalement la phrase plus courte. Exemple : « Le groupe de musique répète » et non « répètent ».

Placez-les sans espace avant, avec espace fine après : « mot ». À l’intérieur, utilisez des guillemets anglais (“…”). Exemple : « Il a dit : “Bonjour !” ».

Simplifiez le vocabulaire pour un lectorat large, utilisez un ton formel pour les professionnels. Variez le registre et la structure selon l’âge, le thème et la culture des lecteurs. Exemple : un blog jeunesse privilégie des phrases courtes et imagées.