Écrit-on à l’intention ou l’attention

Cette question porte sur l’usage de la préposition + nom. On utilise «à l’intention de» pour introduire un destinataire ou l’objet d’une initiative. Exemple : «Cet ouvrage a été publié à l’intention des jeunes lecteurs.» Elle souligne l’objectif adressé, non une simple qualité.

L’accent grave sur «à» le distingue du verbe «a». Exemple : «Il a parlé.» vs «Il l’a dit à son ami.» Sans accent, le sens change et crée une faute. La mémorisation de ce différenciateur visuel est essentielle pour éviter l’erreur.

Cette forme renvoie au nom commun désignant la concentration ou l’intérêt. Exemples : «Votre attention, s’il vous plaît.» / «Il capte l’attention.» On l’emploie sans «à» lorsque le mot agit comme sujet ou complément.

Cette confusion concerne un pronom et un verbe. – «On» désigne un sujet indéfini (On part tôt). – «Ont» est le verbe avoir à la 3ᵉ personne pluriel (Ils ont fini). Astuce : remplacez par «avaient» ; si la phrase reste logique, c’est «ont».

Cette question porte sur la coordination et l’état. – «Et» unit deux éléments. – «Est» est le verbe être à la 3ᵉ personne singulier. Test : remplacez «et» par «ainsi que» ; si le sens tient, c’est «et».

Ces deux homophones diffèrent par leur fonction. – «Ou» coordonne des alternatives (thé ou café). – «Où» introduit un lieu ou un moment (Où vas-tu ?). L’accent aigu transforme la conjonction en adverbe interrogatif ou relatif.

Cette règle relève de l’orthographe moderne. On soude tous les mots : vingt-deux, quatre-vingt-trois. Le «et» reste attaché en vingt-et-un. Appliquez-la systématiquement de 21 à 99.

Cette discussion porte sur l’accord avec le COD. – Si le COD précède le verbe, le participe s’accorde (Les lettres que j’ai écrites). – Sinon, il reste invariable (J’ai écrit les lettres). Vérifiez toujours la place du COD avant de conjuguer.

Ici, le participe fonctionne comme un adjectif qualificatif. Il s’accorde systématiquement en genre et en nombre avec le nom qu’il suit. Exemples : porte fermée, fenêtres ouvertes.

Cette marque graphique préserve le son [s] devant a, o, u. Exemples : leçon, garçon, reçu. Devant e ou i, le c se prononce déjà [s], donc la cédille est superflue.

Ces deux formes expriment des nuances. – «Peut être» sans tiret reste deux mots (Il peut être tard). – «Peut-être» avec tiret est un adverbe signifiant «sans doute». Remplacez par «sans doute» pour tester l’adverbe.

Cette question touche la syntaxe. En français, la négation encadre le verbe conjugué : ne… pas, ne… jamais, etc. Exemple : Je ne pense pas qu’il vienne. Vérifiez toujours l’élément verbal principal.

Certaines conjonctions introduisent le doute, le but ou la condition. Exemples : bien que, pour que, avant que. Exemple : Bien qu’il fasse froid, nous sortirons. Repérez le sens pour choisir le mode approprié.

Cette question vise la fluidité. En général, ces adverbes se placent après l’auxiliaire ou avant le participe passé : – Il a déjà terminé. – Elle s’est bien préparée. Veillez à ne pas couper le groupe verbal.

Cette problématique touche le style. Alternez synonymes, pronoms ou périphrases pour varier le vocabulaire. Exemple : remplacez «le salarié» par «l’employé» ou «ce collaborateur». Pensez aussi aux pronoms relatifs et démonstratifs.

Cette confusion porte sur l’accord et la nuance. – «Quelque» adverbe ou adjectif indéfini (quelque chose, quelques heures). – «Quel que» reste invariable devant subjonctif (Quel que soit son choix). L’analyse du contexte guide votre choix.

Cette règle précise l’accord en genre et nombre. Les adjectifs formés de deux éléments restent invariables : bleu-marine, vert-anis. Si l’un des mots est un nom, seul le second varie : roses rouge clair.

Cette règle relève de la typographie française. On garde la minuscule après deux-points, sauf si suit un nom propre ou une citation complète. Exemple : Il a dit : «Bonjour». Sinon : Voici les étapes : préchauffez, mélangez…

Cette méthodologie aide la grammaire. Interrogez le mot : qui ? quoi ? où ? quand ? pourquoi ? Exemple : Dans «Marie lit un livre», «Marie» est sujet, «un livre» COD. Passez chaque mot au crible pour en déduire le rôle.

Cette question porte sur la compréhension contextuelle. Vérifiez toujours la nature grammaticale du mot : verbe, adverbe, pronom. Utilisez des tests simples (remplacement, reformulation) pour lever l’ambiguïté avant de valider l’écrit.

Cette distinction concerne les pronoms relatifs. – «Dont» remplace un complément introduit par «de». – «Duquel» s’accorde en genre et nombre (le livre duquel je parle). Choisissez selon la précision et le registre souhaité.

Cette question touche la référence. – «Ce» devant un verbe ou un adjectif (C’est parfait). – «Celui» précise un antécédent (Celui qui lit). – «Ça» forme familier pour «cela» (Ça m’énerve). Adaptez au registre.

Cette règle équilibre lisibilité et typographie. On emploie « … » avec ins : « Bonjour ». Les guillemets anglais « … » se réservent aux citations à l’intérieur. N’oubliez pas les espaces fines insécables.

Cette problématique porte sur l’idée d’unité. – Singulier si le groupe agit comme un tout (La foule applaudit). – Pluriel si l’on insiste sur les individus (La foule se dispersent). Choisissez selon le sens voulu.

Cette question touche la fluidité sonore. On élide le e muet devant une voyelle ou h muet : l’ami, c’est. Ne pas élider devant h aspiré : le héros. Maîtriser ces élisions assure une écriture soignée.

Cette démarche combine technologie et ressources traditionnelles. Utilisez dictionnaires en ligne, correcteurs automatiques et ouvrages papier. Exemple : Antidote, Larousse, Bescherelle. Croisez toujours plusieurs sources pour lever tout doute.

Cette règle dépend du degré de certitude ou de réalité. – Indicatif pour un fait ou une certitude (Je sais qu’il vient). – Subjonctif pour le doute, le désir ou la nécessité (Il faut qu’il vienne). Analysez l’intention avant de conjuguer.