CrossFit en arrêt maladie, la justice muscle son verdict

CrossFit en arrêt maladie, la justice muscle son verdict

Résumé punchline : Faire du CrossFit pendant un arrêt maladie, c’est comme jouer au poker avec les RH : risqué, mais pas forcément perdant. Une employée de Rio Tinto, virée pour avoir soulevé des haltères alors qu’elle était censée souffrir de polyarthrite, vient de remporter son bras de fer judiciaire. Le Tribunal administratif du travail a tranché : pas de fraude, pas de mensonge, juste une femme active qui voulait garder la forme malgré la douleur. D’une part, l’employeur crie à l’incohérence. D’autre part, la justice rappelle que l’activité physique adaptée peut faire partie du traitement. En fin de compte, ce n’est pas parce qu’on transpire qu’on triche. Et si vous pensiez que faire du sport en arrêt maladie était un aller simple pour le licenciement, détrompez-vous : la jurisprudence vient de faire un squat sur vos certitudes.

👉Lire l’article complet sur courrier picard

À propos de l’auteur

Je suis un entrepreneur du web. Webmaster et éditeur des sites web, je me suis spécialisé sur les techniques de recherches d'informations sur internet avec pour but de rendre l'info beaucoup plus accessible aux internautes. Bien que tous les efforts aient été faits pour assurer l'exactitude des informations figurant sur ce site, nous ne pouvons offrir aucune garantie ou être tenus pour responsable des éventuelles erreurs commises. Si vous constatez une erreur sur ce site, nous vous serions reconnaissants de nous la signaler en utilisant le contact: jmandii{}yahoo.fr (remplacer {} par @) et nous nous efforcerons de la corriger dans les meilleurs délais. Merci