Écrit-on « je serai disponible » ou « je serais disponible »

Le futur simple exprime une action certaine à venir, sans condition. Le conditionnel présent, lui, formulera une action soumise à une hypothèse ou un souhait non assuré. Exemple : « Il partira demain » versus « Il partirait si… ».

Le conditionnel atténue les formules, rendant la demande plus courtoise. On emploie souvent des verbes comme souhaiter, pouvoir ou vouloir : « Pourriez-vous… », « Je souhaiterais… ». Exemple : « Pourriez-vous m’envoyer le dossier ? ».

Si la condition est réalisable, on associe une subordonnée en « si » + indicatif à la principale au futur. Pour une hypothèse irréelle, on passe « si » + imparfait suivi d’une principale au conditionnel présent. Exemple : « Si j’ai le temps, j’agis » vs « Si j’avais eu le temps, j’aurais agi ».

Pour obtenir cette forme, on remplace la terminaison « er » de l’infinitif par « ez ». Exemple : « vous chanterez », « vous parlerez ». Le radical reste invariable, seul le suffixe change.

Le conditionnel passé exprime un regret ou un fait qui aurait pu se produire sous condition. Le futur antérieur annonce une action achevée avant un moment futur certain. Exemple : « J’aurais aimé… » vs « J’aurai terminé avant midi ».

On utilise « si » + imparfait pour poser la condition et le conditionnel présent pour la conséquence. Exemple : « Si je gagnais, je partagerais » marque un scénario non réalisé. Cette construction souligne l’écart entre réalité et souhait.

Une promesse formelle emploie le futur avec des formules claires : « Je m’engage à… ». On ajoute une date précise et les modalités d’exécution. Exemple : « Je m’engage à livrer avant le 15 juillet ».

Placez « si » en tête de subordonnée et suivez la règle de concordance des temps. Choix du temps dépend de la probabilité de la condition. Exemple : « Si vous arrivez tôt, nous commencerons ».

Respectez la concordance des temps entre les verbes principaux et subordonnés. Accordez les participes passés avec l’auxiliaire employé et le sujet ou le COD. Exemple : « Les lettres qu’elle a écrites ».

Les deux marquent la succession immédiate d’événements. « Aussitôt que » est jugé un peu plus soutenu. Exemple : « Dès que j’entends, je réagis » ou « Aussitôt que possible ».

Utilisez des cartes mémoire (flashcards) et répétez-les régulièrement. Associez une action à chaque temps pour créer un ancrage sensoriel. Exemple : taper au clavier en récitant les terminaisons.

Repérez les subordonnées introduites par que, si, quand, dont, etc. Vérifiez la présence de propositions relatives ou circonstancielles. Exemple : « Lorsque tu arrives, je te préviens » regroupe deux idées.

Privilégiez le présent de narration ou le passé simple pour alléger un texte. Limitez l’usage des temps composés si l’action est continue. Exemple : « Il arriva » plutôt que « Il a fait son arrivée ».

Il porte la marque du temps et permet l’accord du participe passé. Choix entre être et avoir détermine l’accord (avec être on accorde). Exemple : « Elles sont parties » vs « Elles ont chanté ».

Le passé composé ou le plus-que-parfait sont employés. Choix dépend du moment visé : composé pour un événement ponctuel, plus-que-parfait pour antériorité. Exemple : « Il avait déjà fini ».

Conjonctions (que, quand, puisque), pronoms relatifs (qui, dont) et locutions (afin que). Chaque mot-servant crée un lien logique différent. Exemple : « Bien qu’il pleuve, il sort ».

Employez le conditionnel ou le futur proche pour adoucir la requête. Ajoutez une formule de remerciement anticipé. Exemple : « Je vous serais reconnaissant de bien vouloir… ».

Posez d’abord la condition avec « si » + temps approprié, puis la conséquence. Respectez la concordance des temps. Exemple : « Si les coûts baissent, nous achetons ».

Indicatif relate un fait, une certitude. Subjonctif exprime l’incertitude, le souhait, la doute ou l’émotion. Exemple : « Il dit qu’il vient » vs « Il faut qu’il vienne ».

Utilisez « ensuite », « bientôt », « auparavant » pour baliser la chronologie. Variez leur position pour dynamiser le rythme. Exemple : « D’abord, il partit. Puis, bientôt, il revint ».

Introduisez-la avec « je crains que » ou « je regrette de ». Employez le conditionnel pour adoucir le ton. Exemple : « Je crains que cet horaire ne convienne pas ».

Ce temps marque l’antériorité d’un fait par rapport à un autre passé. Il se forme avec l’imparfait de l’auxiliaire + participe passé. Exemple : « Elle avait lu avant de dormir ».

L’attribut s’accorde en genre et nombre avec le sujet. Exemple : « Ils sont motivés » ou « Elle reste confiante ». Les verbes d’état : être, sembler, paraître, rester…

Accordez le temps de la subordonnée sur celui de la principale. Adaptez-vous au registre oral ou écrit selon l’interlocuteur. Exemple : « Il m’a dit qu’il viendrait ».

Choisissez un verbe d’action simple et dynamique. Ajoutez un complément qui promet un bénéfice concret. Exemple : « Boostez votre productivité en 5 étapes ».

Pour un lectorat professionnel, favorisez un vocabulaire précis et formel. Pour un public jeune, adoptez un registre familier et des exemples concrets. Exemple : blog pro vs blog lifestyle.

Relisez une phrase à voix haute pour entendre les erreurs. Vérifiez les sujets éloignés et les accords des participes passés. Exemple : vérifiez « ils ont mangé » vs « elles sont parties ».

Notez les radicaux et terminaisons pour chaque temps. Consultez-le systématiquement lors d’une révision ou d’une rédaction. Exemple : un rappel du présent, imparfait, futur, conditionnel…

Écoutez des podcasts ou des vidéos en notant les formes entendues. Repassez-les en ralenti pour identifier la terminaison. Exemple : replay d’interviews ou de journaux radio.

Associez indicatif pour les faits, conditionnel pour l’hypothèse, subjonctif pour le souhait. Jouez sur la succession pour créer des effets de style. Exemple : « Je sais qu’il viendra, j’aimerais qu’il reste ».