La forme correcte est « c’est censé », avec un « c » initial pour marquer la supposition ou l’obligation. « Sensé », sans « c », désigne ce qui est judicieux ou raisonnable.
Écrit-on c’est sensé ou censé ?
Other frequently asked questions
Pour commencer, ces deux mots ne signifient pas la même chose.
« Censé » signifie supposé ou attendu : on l’emploie pour exprimer une obligation ou une attente (« c’est censé fonctionner »).
« Sensé » décrit ce qui est raisonnable, réfléchi ou cohérent (« un raisonnement sensé »).
Il sert à indiquer ce qui est supposé se passer ou ce qu’on attend.
Exemple : « Il est censé arriver à midi » signifie qu’on attend son arrivée à cette heure.
On peut l’utiliser pour souligner une prescription implicite ou une convention.
Une astuce simple repose sur le contexte : obligation versus jugement.
Si l’idée est de devoir ou de supposition, retenez le « c » de contrainte (« censé »). Sinon, pour parler de bon sens, pas de « c » (« sensé »).
Pour commencer, « a » est un verbe (il a), tandis que « à » est une préposition.
Placez « avait » à la place de « a » : si la phrase reste logique, choisissez le verbe.
Exemple : « Il a fini » (il avait fini) vs « Je vais à la plage » (je vais avait la plage ?).
Le mot « et » lie deux éléments, tandis que « est » est un verbe (être).
Remplacez « est » par « était » : si cela fonctionne, c’est le verbe. Sinon, c’est la conjonction.
Exemple : « Il est content » (il était content) vs « crème et sucre » (crème était sucre ?).
On garde le trait d’union entre verbe et adverbe quand on exprime une possibilité.
Sans doute : « Peut-être viendra-t-il », chaque partie reste séparée par un tiret.
Attention à ne pas confondre avec « peut être » (sujet + infinitif), rare et spécifique.
« Où » avec accent indique un lieu ou un moment, « ou » sans accent propose un choix.
Testez en remplaçant par « à quel endroit » ou par « ou bien » : seul le bon sens confirmera.
Exemple : « Où vas-tu ? » vs « Thé ou café ? ».
Elle adoucit le « c » devant les voyelles dures (« a », « o », « u »).
Sans la cédille, « garnir » serait prononcé « garnir » dur ; « garçon » s’adoucit grâce à « ç ».
On l’emploie uniquement devant « a », « o » et « u ».
La forme de base se termine en -é pour le masculin singulier.
On ajoute -e au féminin, -s au pluriel masculin, -es au féminin pluriel.
Exemple : un visage marqué, une joue marquée, des visages marqués.
On met un tiret entre les éléments de mots composés et dans les numéraux.
Exemple : porte-monnaie, vingt-et-un.
Les règles varient pour les noms communs et les verbes pronominaux.
« Vingt » prend un « s » quand il est multiplié et termine un nombre (quatre-vingts).
« Cent » suit la même logique (deux cents) sauf s’il est suivi d’un autre nombre.
Exemple : deux cents, deux cent un.
La consonne se double à certaines personnes du présent pour conserver la prononciation.
Exemple : j’appelle, tu appelles, mais nous appelons.
Observez les modèles similaires (jette, jettent).
Les homographes s’écrivent de la même façon, les homophones se prononcent pareil.
Exemple homographe : « avocat » fruit et métier. Exemple homophone : « mer » et « mère ».
Le contexte établit le sens.
On ne met pas de majuscule après les deux-points, sauf si suit un nom propre ou une citation complète.
Exemple : Il répéta : « Levez-vous. » Mais : Il a deux passions : la musique et le cinéma.
Avec un verbe sans auxiliaire, on parle de participe adjectif : il s’accorde avec le nom qu’il qualifie.
Exemple : des feuilles tombées. Ici, tombées s’accorde avec feuilles.
Il indique souvent la disparition d’un « s » historique (hôpital, forêt).
Cependant, sur « u » seul, il ne sert qu’à distinguer certains homographes (jeûne vs jeune).
« Quelque » sans espace est un déterminant ou adverbe d’intensité (« quelque chose », « quelque peu »).
« Quel que » se sépare devant un verbe au subjonctif (« quel que soit… »).
Les adjectifs de couleur simples s’accordent comme les autres adjectifs.
Exemple : des robes rouges, des chaises bleues.
Certains restent invariables (orange, marron).
On accorde en général le premier élément quand le second nom dépend du premier.
Exemple : des garde-côtes, mais des arc-en-ciel (tous invariables).
L’apostrophe remplace la voyelle du mot précédant devant un mot commençant par une voyelle ou un h muet.
Exemple : l’arbre, j’habite, mais le héros (h aspiré empêche l’élision).
« Leur » sans « s » est un adjectif possessif singulier, devant un nom singulier.
« Leurs » avec « s » désigne plusieurs possesseurs et précède un nom pluriel.
Exemple : chacun lit leur livre vs ils rangent leurs livres.
Les adjectifs composés s’accordent généralement en genre et nombre avec le nom qu’ils qualifient.
Exemple : une machine bien huilée, des pièces bien huilées.
Certaines catégories sont toujours invariables : adverbes, noms de couleur spécifiques, interjections.
Consultez un dictionnaire ou une liste de mots invariables pour vérifier chaque cas.
On place la virgule entre chaque élément sauf avant « et ». Elle sépare et clarifie.
Exemple : pommes, poires, cerises et raisins.
Il sépare deux propositions indépendantes étroitement liées.
Exemple : Il pleuvait ; nous sommes restés à l’abri.
Il peut remplacer une conjonction sans en changer le sens.
Ils sont en principe reliés par un tiret (Jean-Luc, Anne-Marie).
Certains choix familiaux peuvent varier, mais le tiret reste l’usage courant.
La liaison se note en typographie par un tiret dans certains style guides, mais pas toujours en texte courant.
En français standard, on écrit sans, mais on marque la liaison à l’oral.
En français, les saisons restent en bas de casse (printemps, été, automne, hiver).
On ne met de majuscule que s’il s’agit d’un nom propre ou d’un titre.
Le futur proche exprime une action imminente (« je vais partir »), le futur simple, une projection plus lointaine (« je partirai »).
Choisissez selon le degré de certitude et la temporalité souhaitée.
On met des majuscules pour les sigles (ONU) et parfois seulement la première pour les acronymes prononçables (Unesco).
Ils restent invariables et s’écrivent sans points.