Écrit-on je serai ou je serais ravie

On utilise « je serai ravie » pour annoncer un fait certain au futur, par exemple un rendez-vous déjà fixé. À l’inverse, « je serais ravie » marque une attente, un souhait ou une demande de permission. En contexte professionnel, privilégiez souvent le conditionnel pour la formule de courtoisie.

L’adjectif s’accorde avec le sujet : une femme écrira « ravie » avec un « e », un homme « ravi » sans « e ». Ce simple changement transmet immédiatement l’identité du locuteur. Veillez à rester cohérent lorsque vous rédigez un document ou un e-mail.

Dans un e-mail d’invitation, le conditionnel « je serais ravie » est souvent perçu comme plus poli. Utilisez le futur « je serai ravie » seulement si le rendez-vous est formellement programmé. Cet équilibre nuance votre discours et prévient toute impression d’impératif.

Pour choisir, identifiez d’abord si l’action est habituelle ou ponctuelle. L’imparfait décrit un cadre, une habitude ou une description (Quand j’étais enfant, je jouais tous les jours). Le passé composé relate un fait unique et achevé (Hier, j’ai joué au tennis).

Le subjonctif suit systématiquement « il faut que » pour exprimer une nécessité ou un ordre. Il introduit une idée non réalisée et soumise à volonté (Il faut que tu viennes). Vérifiez la concordance : « viens » devient « viennes » au subjonctif.

Avec « avoir », l’accord se fait uniquement si le complément d’objet direct précède le verbe. Ex. : « Les lettres que j’ai écrites » (lettres, COD avant le verbe). Sinon, on garde le masculin singulier : « j’ai écrit trois lettres ».

« Depuis » indique la durée d’une action toujours en cours (Je travaille ici depuis 2019). « Il y a » situe un événement dans le passé, sans lien direct avec le présent (Je suis arrivé ici il y a deux ans).

« C’est » est la contraction de « cela est » (C’est incroyable). « S’est » est un pronom réfléchi + auxiliaire être (Il s’est levé tôt). Remplacez par « cela est » ou « il est » pour tester votre choix.

La négation encadre toujours le verbe conjugué : « Je ne sais pas ». Avec un infinitif, « ne… pas » précède l’infinitif : « Je vais ne pas oublier » (à éviter, préférez « Je ne vais pas oublier »). Respectez cette position pour éviter les contresens.

Les verbes pronominaux se conjuguent avec l’auxiliaire être. Ex. : « Je me suis levé(e) » au passé composé, « Je me lève » au présent. Accord du participe passé selon le genre et le nombre du sujet : « elles se sont levées ».

L’infinitif reste invariable et sert de nom verbal (J’aime chanter). Le gérondif (« en + participe présent ») exprime la simultanéité ou la manière (Il lit en marchant). Choisissez-le pour indiquer « comment » ou « quand ».

« A » est le verbe avoir (Il a faim). « À » est une préposition indiquant un lieu, un temps ou un complément (Je vais à Paris). Remplacez « a » par « avait » pour tester le verbe.

Il exprime une action achevée avant une autre action future. Ex : « Quand tu arriveras, j’aurai terminé. » Utilisez-le pour indiquer l’antériorité dans un récit d’événements à venir.

L’orthographe correcte est toujours deux mots : « quelque chose ». Le mot « quelquechose » n’existe pas. Retenez que l’adjectif indéfini « quelque » reste séparé du nom.

« On » est plus conversationnel et neutre (On part demain), tandis que « nous » renforce la forme écrite ou formelle (Nous serons présents). Adaptez le pronom au registre de votre discours.

Les couleurs simples s’accordent (une robe rouge, des yeux verts). Les couleurs composées restent invariables (des chaussettes bleu ciel). Vérifiez si la couleur est issue d’un nom ou d’un adjectif pour décider.

En français, les jours de la semaine et les mois s’écrivent sans majuscule (lundi, septembre). Ne changez la règle que si vous débutez une phrase avec l’un d’eux. Cette simplicité évite les fautes récurrentes.

L’apostrophe remplace la voyelle élidée devant une voyelle ou un h muet (l’homme, j’aime). Ne l’employez pas devant un h aspiré (le héros, pas « l’héros si h aspiré). Consultez un dictionnaire pour vérifier le type de h.

Dans « Parle-t-elle ? », le « t » sert de liaison et ne change pas l’accord. Le verbe s’accorde toujours avec le sujet : « Parlez-vous ? », « Succombe-t-il ? ». Respectez le modèle pour chaque personne.

Il se construit avec l’auxiliaire au conditionnel présent + participe passé. Ex : « J’aurais fini avant midi », « Elle serait venue si… ». Il exprime un résultat hypothétique non réalisé.

Les deux introduisent le subjonctif pour exprimer une concession. « Bien que » est un peu plus soutenu ; « quoique » peut signifier « bien que » ou « quoi que » selon le contexte. Vérifiez toujours la ponctuation pour distinguer.

Le participe présent est invariable et forme des adjectifs verbaux (une annonce surprenante). Le gérondif (« en + participe présent ») indique une circonstance (Il parle en souriant). Adaptez-les selon la nuance voulue.

Les adverbes de manière sont généralement après le verbe (Il chante bien). Les adverbes de fréquence se placent entre l’auxiliaire et le verbe principal (Il a souvent chanté). Adaptez-vous au type d’adverbe pour ne pas troubler le sens.

« Dont » remplace un complément introduit par « de » (La fille dont je parle). Il évite la répétition de « de + nom ». Testez la phrase en remplaçant « dont » par « de laquelle » pour valider.

« Qui » est sujet du verbe relatif (La femme qui parle). « Que » est objet direct (Le livre que tu lis). Posez la question « qui fait l’action ? » pour choisir le bon pronom.

Préférez des équivalents français reconnus (ordinateur : computing device). Consultez des glossaires officiels (Office québécois de la langue française). Relisez vos textes pour détecter des tournures calquées.

« Moins » exprime une quantité moindre (Il y a moins de place). « Moindre » est adjectif et s’accorde (la moindre erreur). Remplacez « moins » par « plus petit » pour tester l’usage de « moindre ».

« Enfin » peut marquer une conclusion ou un soulagement (Enfin épuisé). « Au final » résume un propos après réflexion (Au final, c’était simple). Choisissez selon la nuance et le registre.

« Leur » au singulier est possessif pour plusieurs destinataires (Ils ont rangé leur salle). « Leurs » au pluriel précise plusieurs objets (Ils ont rangé leurs livres). Demandez-vous « combien d’objets ? » pour savoir.

La seule orthographe correcte est « peu à peu » sans trait d’union. Il signifie une progression lente (Peu à peu, il a compris). Retenez cette règle pour éviter la forme fautive.