En clair, la forme correcte, c’est « je comprends » — oui, avec un « s » final… Bon, ce qu’il faut voir, c’est que ce verbe relève du troisième groupe et impose cette terminaison à la première personne du singulier.
Écrit-on je comprend ou je comprends ?
Other frequently asked questions
Cette terminaison résulte des règles du troisième groupe au présent de l’indicatif.
Le radical reste « comprend- » et la marque « s » identifie la première personne du singulier : je comprends.
Exemple : je comprends, tu comprends, il comprend.
Beaucoup confondent la première personne avec l’infinitif, omettant le « s ».
Écrire « je comprend » revient à confondre la forme conjuguée avec l’infinitif, une faute très repérée.
Relire systématiquement les terminaisons au présent évite cette confusion.
Un moyen simple est de conjuguer à haute voix en contexte.
Répétez des phrases clés : « je comprends ton point de vue », « tu comprends la règle ».
Associer le « s » à l’idée de singularité renforce la mémorisation.
Pour prévenir les erreurs, commencez par identifier le groupe verbal.
Les verbes en -er, -ir et -re suivent chacun des schémas distincts au présent.
Créez des tableaux de terminaisons et pratiquez avec des phrases courtes.
Deux verbes servent de base aux temps composés : « avoir » et « être ».
« Être » s’applique aux verbes de déplacement et aux pronominaux, sinon c’est « avoir ».
Exemple : j’ai fini, il est arrivé, elle s’est levée.
La différence repose sur le récit versus la description.
Le passé simple narre des actions ponctuelles achevées, l’imparfait décrit un contexte ou une habitude.
Exemple : il arriva soudain (PS), il pleuvait chaque été (imparfait).
L’accord varie selon l’auxiliaire et la place du participe.
Avec « avoir », il s’accorde avec le COD si celui-ci précède ; avec « être », il s’accorde toujours.
Exemple : les lettres que j’ai écrites, elle est partie.
Les verbes pronominaux se composent du pronom réfléchi et du verbe conjugué.
Au présent : je me lève, tu te laves, il se couche.
Veillez à bien accorder le participe passé avec le sujet si nécessaire.
Plusieurs sites et applications offrent des conjugueurs fiables.
Recommandations : Le Conjugueur, Larousse, Conjugaison proposent des exercices interactifs.
Intégrez-les à votre routine de révision pour un résultat efficace.
Analysez d’abord la personne et le nombre du sujet.
Ensuite, vérifiez la terminaison du verbe : -e, -ons, -ent, etc.
En cas de doute, reformulez la phrase avec un sujet plus simple.
Associez chaque groupe à une couleur ou un dessin.
Pratiquez avec des cartes mémoire : infinitif d’un côté, conjugaison de l’autre.
Répétez quotidiennement avec des exemples concrets.
Quand le sujet suit le verbe, l’accord reste identique.
Exemple : « Que mange-t-il ? » le verbe porte la terminaison de la troisième personne.
Gardez la concordance personne/nombre, même inversée.
Les auxiliaires « avoir » et « être » ont des modèles irréguliers.
Mémorisez leurs terminaisons : j’ai/es/est, nous avons/êtes/sont.
Pratiquez-les dans des temps simples puis composés pour ancrer la forme.
Le futur antérieur se compose de l’auxiliaire au futur simple et du participe passé.
Exemple : j’aurai fini, elle sera partie.
Il indique une action antérieure à un moment futur.
Certains verbes changent de radical ou doublent une consonne.
Par exemple : nous appelons, je jette, ils tiennent.
Regroupez-les par similarité pour faciliter la mémorisation.
C’est d’abord une question de verbe : les verbes de mouvement et pronominaux utilisent « être ».
Les autres prennent « avoir ».
Rappel utile : liste des 14 verbes (Dr & Mme Vandertramp).
Privilégiez l’usage en contexte plutôt que la mémorisation isolée.
Composez de courtes histoires ou dialogues intégrant différents temps.
Vous retiendrez plus vite en vivant la langue.
Identifiez la nature du changement (voyelle, consonne doublée, etc.).
Exemples : tu prends/prenons, il boit/buvons.
Créez des tableaux comparatifs pour visualiser les variations.
L’oral impose réactivité et mémorisation rapide.
Pratiquez avec un partenaire ou enregistrez-vous pour identifier vos hésitations.
Intégrez des fiches à consulter avant chaque session.
Pour des phrases complexes, repérez chaque sujet indépendant.
Conjuguez le verbe selon le sujet correspondant.
Exemple : « Pierre et Marie sont présents, mais lui travaille. »
L’indicatif exprime des faits, le subjonctif des souhaits, doutes ou obligations.
Repérez les conjonctions et locutions qui déclenchent chaque mode.
Exemple : Il faut que tu viennes (subj.), il sait que tu viens (ind.).
Optez pour des fiches visuelles séparées par groupe et temps.
Incluez des exemples pratiques, des repères mnémotechniques et des exercices.
Relisez-les avant de dormir pour renforcer la mémoire.
De nombreux logiciels intègrent des correcteurs grammaticaux avancés.
Exemples : Antidote, Grammarly, LanguageTool proposent des suggestions ciblées.
Utilisez-les pour un premier jet, puis vérifiez manuellement.
Familiarisez-vous avec les repères temporels (avant, pendant, après).
Reliez chaque temps à son rôle dans la chronologie narrative.
Faites des exercices de transformation de phrases pour vous entraîner.
Le conditionnel présent se forme sur le radical du futur, avec les terminaisons de l’imparfait.
Exemple : je partirais, tu finirais, il dirait.
Il exprime un souhait ou une hypothèse non réalisée.
Certains verbes modifient la voyelle ou la consonne pour préserver la sonorité.
Exemple : je mange/nous mangeons, tu commences/nous commençons.
Observez ces patterns pour éviter les fautes.
Travaillez sur des textes à trous en complétant les verbes au temps demandé.
Créez des récits au présent puis réécrivez-les au passé composé et au plus-que-parfait.
La retranscription renforce la connaissance des accords et participes.
Transformez la révision en défi : bingo des terminaisons, mémory des radicaux, etc.
Attribuez des points pour chaque réponse correcte et variez les niveaux.
Cela motive et facilite l’apprentissage ludique.
L’écriture implique rigueur : rédigez chaque jour un court texte en variant les temps.
Relisez-vous systématiquement pour repérer et corriger vos erreurs.
Demandez un retour d’un tiers pour cibler les points à améliorer.
Les terminaisons partagées par plusieurs personnes (ils/elles -ent, nous -ons) induisent en erreur.
Les changements de radical et les exceptions créent des confusions.
Identifiez ces cas et mémorisez-les par catégories.